Fongauffier-sur-Nauze

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"Sauvons la Vallée de la Dordogne" aime le chemin de fer.

 

 

"Sauvons la Vallée de la Dordogne"

aime le chemin de fer.

 

Vendredi à 18 h 30, à la mairie de Castels, Isabelle Petitfils, animatrice du collectif vert  qui promouvait la rencontre citoyenne dissertant sur la problématique de la ligne Bergerac-Sarlat a ouvert la séance.

Cette réunion était, essentiellement, portée par les animateurs du collectif  "Sauvons la Vallée de la Dordogne". Ceci expliqua quelques petits rapprochements qui ont justifié un recentrage et l'apposition de guillemets.  Après un tour de table où la trentaine de participants se sont succinctement présentés une intervention liminaire a situé l'historicité de la ligne. Isabelle, après avoir lu la motion de l'O.T de Sarlat,  a ouvert les questionnements des discoureurs.

 

On notera la qualité de l'intervention de Bernard Bousquet, écologue, qui plaide pour une "voie verte de la vallée", avec des pôles à définir,  et, implicitement, une reviviscente régénérescence de l'ancienne gare de Castelnaud,  implantée au cœur d'un cadre de vie, où le tourisme pourrait prendre un essor vert grâce aux bicyclettes, notamment électriques. Bernard Bousquet verrait bien un alternat soutenu de circulations ferroviaires renforcées, avec des automoteurs adaptés, qui rappelleraient l'épopée de l'Autorail Espérance.

Parmi les remarques de Kléber Rossillon, opérateur train touristique dans le Vivarais, intervenant bien conscient que peu de personnes se détourneront de leur voiture pour le train, on notera son souhait de voir une implantation d'arrêt au niveau du Lycée sarladais du Pré de Cordy. Il relance, ainsi, une vieille idée toujours bien rangée dans le fond des tiroirs.

Carine Fondu s'est émue de l'abandon progressif de la couverture du territoire hexagonal alors que nos voisins transalpins maintiennent la cohésion de leur péninsule.

François Coq avança des propositions offensives Il regretta l'abandon du fret ferroviaire et souhaita une renaissance de cette activité. Il pointa la mise en réserves de terrain dans le PLUI de Sarlat… objet d'études d'EELV.

 Autour de la table diverses approches de "lenteurs" du train dans cette ligne furent évoquées. Une intervenante souligna néanmoins que dans le train on peut travailler… ce qui n'est pas le cas en voiture.

Jérôme Peyrat, maire de Laroque, conseiller communautaire, intervenant pour l'O.T de Sarlat, arrivé en cours de réunion, pense qu'il faudrait qu'il y ait des relations directes T.E.R Sarlat-Périgueux.

 

Un syndicaliste UNSA, qui dit rencontré facilement Alain Rousset, ne croit pas beaucoup à une remise en cause des choix mais il se fera un plaisir de faire remonter toutes les idées.  

 



24/03/2018
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