La Résistance verte ne baisse pas la garde.
La présidence du Conseil départemental de la Dordogne, pour l'heure, reste ferme dans sa mégalomanie pharaonique immanente au contournement de Beynac.
Le collectif de sauvegarde de la vallée a bien été reçu mais il a plus assisté à un monologue qu'à un dialogue et n'a pas reçu la moindre réponse sur la question du moratoire suggéré pour attendre la livraison de la voie sur berge. Celle-ci a toutes les probabilités de solutionner la traversée de Beynac avec la RD 703 rééquilibrée à 6,10 mètres.
Cette non-réponse, le 25 juillet, a justifié la présence sur le terrain laissé en jachère, proche de l'ancienne gare de Castelnaud, où les partisans de la sauvegarde de la vallée se sont livrés à des travaux d'entretien de l'espace en friche, pour sensibiliser les passants de la petite route de la rive gauche de la Dordogne qui borde l'espace abandonné à la nature.
Martine Subil présente la carte.
La préparation de la rencontre. Photo Théo Pardo.
Michel André, président de la SEPANSO, n'a pas hésité à prendre la faux.
Les participants échangent quelques mots.
Les noyers, en bordure de parcelle, n'ont pas obtenu... le droit de vote. Comme les autres arbres riverains de la Dordogne, ils sont promis à l'autel du sacrifice de la mégalomanie.
La presse est venue à pied d'oeuvre.
Non, ce n'est pas un apiculteur mais notre ami Théo qui s'est beaucoup démené pour cette action.
Photos Pierre Fabre.
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