Le 1er mai
Une lectrice assidue de ce blog, nostalgique à l'envi de son moulin "nauzéen" natal - depuis un siècle, il n'est plus qu'un témoin d'une période de l'intense vie de notre Nauze - a envoyé un gentil assemblage de muguet "marcillacois".
Mon père, dont certains ont -sans doute- un vague et évanescent souvenir, agnostique imperturbable, disait que plus que toute autre fête de l'année, le 1er mai, à son sens, fête populaire imprescriptible, incontournable, était à respecter impérativement et scrupuleusement. À ce titre, lui qui, à l'exception de ses rosiers, n'avait manifestement pas de passion florale particulière, se plaisait à soigner ses deux petits carrés de muguet proches de la Nauze.
Avec un grand merci à notre amie Marie-Françoise pour sa délicate et gentille attention.
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