Un cursus remarquable.
SAGELAT
Pascale Pin, directrice de cabinet du préfet de l’Eure.
Mes amis personnels de toujours, Marie-Antoinette, dite Georgette et Cyprien, dit Roger, Faget, les heureux grands parents maternels de Pascale, qui passent leur retraite aux Cèdres à Belvès, tout en restant très discrets, ne sont pas peu fiers de la brillante carrière qui se confirme pour leur petite fille.
Attardons nous, un peu, sur le brillant cursus de Pascale. On la trouve en 2004 – 2005 à l'Institut régional d’administration de Lyon puis en 2005 – 2007, chargée de mission qualité comptable des établissements publics à la Direction générale de la comptabilité publique, Ministère du Budget et des finances. En 2007 – 2010 elle devient responsable comptabilité patrimoniale, France Domaine, toujours à la Direction générales des Finances Publiques, Ministère du Budget et des finances. L'E.N.A, grande école française, créée en 1945, pour "démocratiser" l'accès à la haute fonction publique de l'État, l'accueille, en 2011-2012, dans la promotion Marie Curie. Féminité oblige cette promotion affirme la reconnaissance et l'admiration de la prestigieuse école à l'une des Françaises les plus remarquables, voire la plus brillante. En janvier 2011 Pascale effectue un stage de 5 mois avec le préfet de Vendée. Pour terminer ce début de cursus brillantissime elle vient d'être récemment nommée sous-préfet. Elle est directrice de cabinet du préfet de l’Eure.
Depuis bientôt 18 mois notre arrondissement a l'honneur d'être administré par une sous-préfète, Dominique Christian, unanimement appréciée. Qui sait, lors d'un prochain mouvement préfectoral, peut être verrons nous Pascale Pin en charge de cette division territoriale... voire, plus tard, être le haut fonctionnaire représentant l'État dans notre département.
C'était en 2008 ; le jour émouvant des noces de diamant de Georgette et de Roger.
P.F
Ce brillant avenir de Pascale me rappelle une histoire que j'ai lue, il y a bien longtemps, parlant d'un humble petit Bigourdan, de Rabastens-de-Bigorre, qui racontait qu'enfant son grand père forgeron et maréchal-ferrant, en lui faisant voir la grande ligne parfaitement rectiligne de 18 Km, la R.N n° 21, route blanche à l'époque, qui séparait son village du chef lieu de département, lui avait promis "un jour je t'emmènerai à Tarbes". Pour ce petit garçon c'était un rêve merveilleux qui l'assiégeait. Enfin un jour le grand père emmena son petit fils radieux sur la charrette, ou une jardinière, à la foire de la ville. Plus tard, bien plus tard, ce petit garçon devint préfet des Hautes-Pyrénées et lorsqu'il franchit, en "grande pompe", la porte d'honneur de la préfecture le haut fonctionnaire de la République pensa, avec une intense émotion, au jour, beaucoup plus fascinant et beau pour lui, où, dans un émerveillement inédit, il découvrit la ville pyrénéenne au côté de son grand père. |
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