Un patrimoine comptable de plus de 150 ans d'histoire conté par l'image.
BELVÈS
Bruno Marty, dans quelques jours, va refermer sa galerie de la rue du Fort pour repartir vers la Polynésie, où il réside, d'où il ne reviendra qu'à l'été prochain. En attendant ce départ il a souhaité que son exposition soit visitée par les personnages de la S.N.C.F, qui régulent la vie ferroviaire, et aussi par les personnages clé de la vie citoyenne, associative et touristique.
Mercredi 13 novembre on pouvait remarquer la présence de J-François Martinet, président de Périgord Rail +, accompagné de Gérard Vilatte, le premier vice président, qui par ailleurs représentait J-Pierre Lavialle, maire de Belvès et de Liliane Derancy, la trésorière de l'association.
D'autres personnalités sont venues dont J-Pierre Riehl, le maire de Siorac, profondément convaincu de la pertinence d'un lien ferroviaire dans sa terre de confluence où la Nauze rejoint la Dordogne, Christian Léothier, président de l'Office de Tourisme, Valérie Vergnac, directrice de l'office, et Noëlle Grimbert, une érudite du patrimoine qui participe aux travaux de la commission culturelle municipale.
Jean-Marc Xuereb, responsable des lignes T.E.R, représentant Philippe Cousinet, directeur adjoint, était présent accompagné de Marie-Noëlle Laval, dirigeante de proximité de la S.N.C.F. On notera que Robert Delpech, ancien chef de gare de Belvès et André Brun, ancien agent circulation de Belvès, ont honoré de leur présence cette petite manifestation picturale.
Bruno Marty qui a su faire vivre le patrimoine ferroviaire sous tous ses angles, y compris les plus insolites, avec une belle dose de nostalgie, s'est beaucoup investi, au cours des quatre dernières années, pour valoriser le siècle d'aviation à Belvès et aussi la fête médiévale. Il va porter témoignage, par ses images, de bien des faces méconnues de notre Périgord d'antan, avec ses clichés sur les particularismes locaux et ses saisissantes photographies de bories, d'engins obsolètes et de bien des sujets de notre ruralité paysanne.
Bruno valorise naturellement la Polynésie, où il réside la moitié de son temps, et l'an prochain il envisage de glisser dans sa galerie des images de typhons rappelant que les forces de la nature peuvent interpeller au plus haut point même si, heureusement, tous les typhons ne sont pas aussi désastreux que celui qui a ravagé les Philippines.
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