Adieu Marcelle.
MONPLAISANT
Ce dernier d'origine alsacienne maîtrisait la langue de l'envahisseur. Cette connaissance idiomatique se révéla très précieuse, pour les traductions, pour la Résistance ; notamment dans le secteur de la Rochelle où perdura la présence des indésirables, dans l'un des derniers kystes en attente de délivrance, lors des ultimes moments précédant leur reddition.
Marcelle Filhol, qui était vendeuse à Périgueux, devient Marcelle Ober dès la Libération. Sa vie s'est écoulée sans évènements majeurs. Avec son mari elle choya son neveu Denis et sa nièce Françoise. Pierre la quitta il y a une bonne vingtaine d'années ; sans que le moindre signe n'ait annoncé son décès. Peu après Adrien, un petit neveu, vint apporter un rayonnement à ses vingt dernières années.
Marcelle avec Adrien son petit-neveu.
Marcelle, pendant un bon moment, partagea sa retraite entre Périgueux et Fongauffier mais, depuis plusieurs années, elle se limita à la demeure du Drapier où elle se plaisait beaucoup tout en regrettant que son amie Yvette lui ait été brutalement soustraite.
Après quelques semaines difficiles Marcelle vient, à son tour, définitivement, de quitter les siens le 27 septembre à Belvès.
Ses obsèques auront lieu demain vendredi 30 septembre, à 15 heures. La cérémonie d'adieu se fera à Capelou.
Marcelle avait une nette ressemblance avec un personnage en vue d'Outre-manche.
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Vaurez ; un hameau pluriel. Péchaud ; un mitage bien nommé. Retour chez les Z'Igolos. Avant les trois coups. Une aventure théâtrale qui a 50 ans. Un premier bilan félibréen.
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Pierre Fabre.
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