Un maire acquis au devoir de mémoire.
Sous ses mandatures le mémorial, dit du Canadier, a toujours été parfaitement entretenu par la commune. En fait ce monument est au carrefour de la Raze. Il a été implanté là pour être remarqué par les passants car Le Canadier, ferme abandonnée très à l'écart, n'a même pas de chemin d'accès.
Francis tient à ce que le devoir de mémoire ne tombe pas dans l'oubli et il entretient d'excellentes relations avec les associations de la Résistance ; notamment avec le comité cantonal belvésois de l'A.N.A.C.R.
Veyrines n'est pas du canton de Belvès. Francis demeure bien conscient que cette délimitation territoriale ne doit pas constituer un obstacle à la commémoration des évènements douloureux qui ont endeuillé le bassin de vie pluri cantonal autour du secteur minier de Merle. Ayant entendu que l'A.N.A.C.R lançait une souscription pour ériger un mémorial pour le Val de Nauze Francis a fait voter, par ses collègues veyrinois, une subvention symbolique de 30 € pour favoriser cette initiative. Il ne s'est pas arrêté là. Il va joindre, sur ses propres deniers, 50 € pour ce mémorial.
Il convient de rappeler que, parmi les onze partisans qui figureront sur ce mégalithe de la Résistance plusieurs travaillaient aux mines et un était ouvrier agricole dans la ferme des Milandes qui s'étend, en partie, sur l'espace veyrinois.
Bravo Francis et merci pour ton implication et ta constance.
P.F
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